Le terme scientifique est utilisé à toutes les sauces en fonction de la couleuvre ou de la vérité que l’on veut faire avaler à son interlocuteur.
L’augmentation de la puissance des moyens de diffusion de l’information font que les mots jouent un rôle de plus en plus important.

Confucius ne disait-t-il pas que la valeur d’un individu est fonction de sa parole donnée.

On distingue plusieurs formes de science.

En termes de vérité toutes ses sciences ont des degrés divers limités par la compréhension du sujet traité dans un certain contexte.
Ainsi les mathématiques sont des sciences exactes mais dans un contexte statistique elles sont ou essaient d’être exactes dans leur incertitude

Dans les sciences physico-chimiques, la vérité est liée à l’expérience. La médecine essaie de se classer dans cette catégorie mais il n’y a que l’aspect physico-chimique qui est concerné. La médecine est considérée par la plupart des praticiens comme un art.

Les sciences humaines sont liées à l’information que l’on tire de l’observation. On essaie de codifier le social, le psychologique, le relationnel etc.

Ondévit dans tout ce panel se situe dans la tentative de comprendre l’environnement dans sa globalité.
Ondévit est concerné par tous les échanges énergétiques liés à la vie d’un individu mais à la vie en général.

Le but est d’harmoniser ces échanges à tous les niveaux physiques ou spirituels.

Ondévit n’a pas la capacité (pour l’instant et peut-être jamais) de mesurer avec des instruments de mesure comme des voltmètres et autres plus sophistiqués comme avec la résonance magnétique,  les énergies utilisées.

Nous mesurons les énergies par les effets qu’elles provoquent sur un être vivant. Dans le cas des humains nous utilisons la force musculaire.

Pour être plus précis nous isolons le gastrocnemius pour en mesurer sa force de résistance à une force opposée.

Des tests effectuées avec une sonde qui mesurait la force de pression des doigts ont montré que les résultats des tests musculaires manuels utilisant le gastrocnemius étaient identiques aux mesures avec la sonde dans plus de 60% des cas. En éliminant les cas extrêmes on arrivait à plus de 70 %.

Ce sont des résultats scientifiques avec les mêmes critères que n’importe quelle autre mesure. Il est normal que l’instrument de mesure ait des limitations dans sa précision. Il est aussi normal que la méthode choisie ait des limitations.

Ces mesures effectuées sur les effets des énergies uniquement par leur radiation sur le corps humain montrent clairement qu’il ne s’agit pas de l’effet placébo au sens utilisé couramment par les scientifiques.

Avec de tels résultats nous sommes en présence d’une énergie qui influence la force d’un individu et sa santé.

Par conséquence, l’utilisation de cette énergie va donner de la force a un individu pour qu’il puisse se guérir lui-même.
Il y a aussi le côté sombre qui permettrait à des individus malintentionnés de faire perdre de la force à un individu et donc de le rendre malade.

Les utilisateurs de la méthode Ondévit sont encadrés et formés pour bien l’utiliser.

Si cette énergie n’était utilisée que pour cela ce serait déjà une réelle avancée mais la découverte et l’utilisation va beaucoup plus loin.
Les observations faites sur les clients traités avec Ondévit montrent des fonctionnements universels de cette énergie.

C’est ainsi que nous avons constaté lors de réactions fortes à l’excitation de la combinaison magnétisme/mots écrits que nous utilisons, une énergie lumineuse se dégage du corps.
Ceci nous a amené à émettre l’hypothèse que l’énergie de la vie était une énergie noire tendis que la lumière émise libérait les tensions à l’intérieur de certaines zones d’énergie noire dans un corps vivant.

 Par analogie nous en avons conclu que le soleil devait avoir un noyau de particules d’énergies noire qui évacuaient de la lumière. La terre par contre devait avoir un noyau d’énergies lumineuses par exemple des photons hautement concentrés. Entre les deux extrêmes comme pour les explosions lumineuses qui se produisent chez les clients, il y a une fine couche « vide » qui les sépare.
Dans le monde de la recherche Ondévit n’est pas seul. Chacun, avec ses moyens, rivalise de résultats exceptionnels.
La compétition pour améliorer la santé humaine est saine à condition qu’elle ne soit pas polluée par d’autres facteurs extérieurs pervers.

L’ETAT ACTUEL DES CONNAISSANCES

Cet article démontre le caractère scientifique des recherches sur l’influence des mots sur la santé.

Souvenez-vous Ondévit a été découvert en 1983 et les travaux de Garjaïev ont commencé en 1984.

REPROGRAMMATION DE L’ADN PAR LA PUISSANCE DU VERBE

https://www.secret-esoterique.com/blog/developpement-personnel-et-spirituel/reprogrammation-de-l-adn-par-la-puissance-du-verbe.html

Publié par Secret Esotérique dans Développement Personnel et Spirituel le 25/09/2019 à 08:48

L’ADN peut être influencé et reprogrammé par des Mots et des Fréquences

Un article passionnant et riche d’information sur l’impact des fréquences des sons et des mots capables de reprogrammer l’ADN humain!

L’ADN HUMAIN EST UN INTERNET BIOLOGIQUE  et est supérieur dans de nombreux aspects à l’artificiel. La récente recherche scientifique russe explique directement ou indirectement des phénomènes tels que la clairvoyance, l’intuition, les actes de guérison spontanés ou à distance, l’auto-guérison, les techniques d’affirmations, les lumières ou auras inhabituelles entourant les personnes (notamment les maîtres spirituels), l’influence de l’esprit sur les modèles climatiques et beaucoup d’autres choses. De plus, il existe des preuves d’un tout nouveau type de médecine dans lequel l’ADN peut être influencé et reprogrammé par des mots et des fréquences SANS découpage ni remplacement de gènes particuliers.

Seulement 10 % de notre ADN est utilisé pour la construction des protéines. C’est ce sous-ensemble d’ADN qui intéresse les chercheurs occidentaux pour être examinés et classées. Les 90 % restants sont considérés comme « de l’ADN poubelle ». Les chercheurs russes, cependant, convaincus que la nature n’était pas stupide, ont rejoint les linguistes et les généticiens dans une entreprise pour explorer ces 90 % de « l’ADN poubelle ». Leurs résultats, les résultats et les conclusions sont tout simplement révolutionnaires ! Selon eux, notre ADN n’est pas seulement responsable de la construction de notre corps mais sert aussi de stockage de données et pour la communication. Les linguistes russes ont constaté que le code génétique, surtout dans les 90 % apparemment inutiles, suit les mêmes règles que toutes nos langues humaines. À cette fin, ils ont comparé les règles de syntaxe (la manière dont les mots sont réunis pour former des phrases), la sémantique (l’étude du sens de formes linguistiques) et les règles de base de la grammaire.

Ils ont constaté que l’alcali de notre ADN suit une grammaire régulière et a des règles tout comme nos langues. Les langues humaines n’apparaissent donc pas par pure coïncidence, mais sont le reflet de notre ADN inhérent.

Le biophysicien russe et biologiste moléculaire Piotr Garjaïev et ses collègues ont également étudié le comportement vibratoire de l’ADN. [Par souci de brièveté, je donnerai un résumé ici. Pour d’autres explorations veuillez consulter l’annexe à la fin de cet article.] La ligne de fond disait: « Les chromosomes vivants fonctionnent tout comme des ordinateurs solitoniques/holographiques utilisant le rayonnement laser de l’ADN endogène». Cela signifie qu’ils ont par exemple réussi à moduler certains schémas de fréquence sur un rayon laser et influencé à l’aide de celui-ci la fréquence de l’ADN et donc l’information génétique elle-même. Comme la structure de base des paires d’ADN-alcalines et la langue (comme expliqué plus haut) sont de la même structure, aucun décodage d’ADN n’est nécessaire.

On peut utiliser simplement les mots et les phrases du langage humain ! Cela a également été prouvé expérimentalement ! La substance vivante de l’ADN (dans les tissus vivants, non in vitro) réagira toujours aux rayons laser modulés en langage et même aux ondes radio, si les fréquences appropriées sont utilisées.

 Source : « La génétique ondulatoire » – Institut de génétique des ondes linguistiques (wavegenetics.org)