L’HISTOIRE EXTRAORDINAIRE DE LA DÉCOUVERTE D’ONDÉVIT®

Tout a commencé pour moi dans cet univers un vendredi saint le 7 avril 1944 à 20 heures.
De la période de la prime enfance j’ai conservé des images flash: une gifle de mon père mais aussi le bonheur d’avoir été dans les bras de Gérard Philippe qui, aux dires de ma mère, m’aimait beaucoup. Il jouait avec moi en me prenant dans ses bras. J’ai conservé de cette relation des images et le contact avec une énergie très douce mais très forte.

Vers l’âge de 10 ans j’ai connu mon héritage génétique. Cet héritage s’est manifesté sous forme de saignements de nez que rien ne pouvait arrêter, même pas les ampoules de vitamine K pour adultes qui m’étaient administrées sous forme de tampons que je me mettais dans le nez. Je me souviens parfaitement de la sensation provoquée par ce liquide qui me coulait dans la gorge, tout comme celle du sang dans les crises de saignement.

J’ai connu à ce moment‑là la relativité de la vie physique et la valeur de la vie spirituelle qui se manifestait alors en une dévotion exagérée pour mon âge à la religion catholique dans laquelle ma famille avait grandi.
J’ai vite compris qu’il y avait vie après la vie et la mort n’était pas un problème, c’était déjà pour moi la continuation d’une forme de vie.

La mort était toute naturelle. Il faut dire que pendant les saignements je ressentais une impuissance telle que j’avais mis mon sort entre les mains des divinités auxquelles je croyais.
Je me souviens que mes premiers pas, après ces 8 jours passés presque toujours au lit dans la peur d’un saignement, étaient difficiles à cause de ma grande faiblesse. L’aide de mes parents était très chaleureuse. Il n’y avait pas d’émotionnel superflu.

Cette période m’a laissé des souvenirs d’extériorisation et d’un contact bien particulier avec mon corps.

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J’ai continué mes études au Lycée Louis Chauvet de Loudun. J’étais à l’époque passionné d’aviation et d’électronique. A partir du moment où j’ai décidé de faire des études d’électronique, j’ai compris que j’étais obligé de réussir car mes parents n’avaient pas les moyens pour financer mes études et la bourse que l’Etat me donnait ne permettait pas d’échecs.

Avec beaucoup de travail, de conviction et de chance j’ai réussi.

C’est ainsi qu’à 22 ans j’ai obtenu mon diplôme d’ingénieur électronicien avec spécialité en énergie atomique. Mon fils est né pendant ma troisième année d’études. Ensuite ce fut le service militaire en tant qu’aide électronicien, puis aide administratif. Pendant cette période oisive j’ai eu l’impression d’oublier totalement ce que j’avais appris à l’école d’ingénieur. Et pourtant je devais encore commencer à utiliser ce que j’avais appris ou plutôt ce qui m’en restait. Cette constatation me mis le doute sur la valeur de l’enseignement. Finalement j’avais un diplôme qui valait plus que ce que je savais et finalement plus que moi pour un futur employeur.
En 1969 je rentrais à l’Institut International des Brevets avec un statut diplomatique qui donnait droit aux cigarettes, alcool et voitures détaxées.
Ce travail de recherche documentaire était pour moi et reste très enrichissant quand il ne tourne pas à la routine.

Ensuite jusqu’au mois de décembre 1973, je crois, je n’ai connu aucun fait marquant dans ma vie capable de déclencher ce qui est devenu sans doute une découverte de la plus haute importance.

Une soudaine douleur dans le ventre, des selles sanguinolentes et une forte diarrhée qui a duré 8 jours avec entre-temps des douleurs épouvantables qui me faisaient presque hurler.
Avant ce temps-là jamais je n’avais pas vu un docteur depuis bien longtemps.
Comme tout le monde je suis allé chez le médecin qui m’a conseillé de manger du riz. Les douleurs étant insupportables un médecin de nuit me prescrivit de la pénicilline.
Bref, en insistant j’ai atterri chez un spécialiste.
Le brave homme me fit une radioscopie de l’intestin avec ce liquide blanc baryté qui vous reste plusieurs jours dans les intestins.
Le constat était clair: colite avec, à la clef, un médicament et l’espoir que tout allait se calmer.
Un régime très sévère me permit de contrôler les diarrhées tant que se pouvait car après peu de temps le médicament que je prenais me donnait des rhumatismes dans toutes les articulations. La colite s’est avérée être la maladie de Crohn
La logique universitaire que j’avais si longtemps pratiquée me faisait simplement conclure qu’il ne me restait plus qu’une seule chose à faire: vivre avec, souffrir n silence et attendre que quelqu’un me donne la solution.
Je me souviens d’un moment de souffrance où j’ai décidé « à trente ans des rhumatismes JAMAIS je dois trouver une solution!« 

Au fond de moi s’est réveillée une force, qui a bien mis plusieurs années à mûrir. Cette idée de passivité m’a dérouté et j’ai commencé à devenir un marginal dans mes pensées. Je me suis dit que, si ce que je faisais ne m’apportait pas de solution,  il fallait chercher ailleurs.
C’est aussi simple que cela et pourtant ce n’est pas ce que vous apprenez dans les universités. Vous êtes formé à la vérité absolue et c’est cela qui doit être votre certitude, votre statut social, votre vie!!
La première solution encore acceptable était l’homéopathie. Sur les conseils de ma famille et d’amis je consultais donc un médecin homéopathe.
Je le consultais tous les 15 jours, trois semaines et le brave homme ne trouvant pas de repos avec moi se libéra en m’envoyant chez son jeune assistant qui devait pouvoir mieux m’aider d’après lui.
Le jeune homéopathe en question me dit que la maladie de Crohn était quelque chose d’origine psychique et que la seule solution était dans un traitement psychique. Il m’indiqua une organisation dont les techniques faisaient soi‑disant des miracles et me conseilla de suivre ces techniques.
Je commençais cette technique en avril 1974 deux jours après l’enterrement de mon oncle.
Je fus d’abord surpris de voir qu’au début on me fit comprendre qu’il ne fallait surtout pas croire que je devais venir ici pour me soigner.

Bref, l’esprit étant une chose qui influence le corps, j’admis volontiers que je pouvais venir pour libérer mon esprit.

Après quelques minutes de cette technique de régression, je me sentis si bien qu’il n’était plus possible de continuer avec moi. Je repartis convaincu que mes problèmes étaient terminés.
Hélas quelques jours plus tard ils étaient de nouveau là.
Lors de l’été 1980 les vacances m’ont remis sur pied.

En 1981 je me séparais de ma femme avec son accord. Je me retrouvais ruiné mais avec du travail et libéré de toute pression. Quelques mois plus tard je partageais la vie de Marie‑Christine avec ses deux filles. J’ai profité de cette période pour m’adonner à fond à la peinture et j’ai été très productif.

Des amis me donnèrent des noms de thérapeutes et je me remis à la recherche d’une solution.

Le premier thérapeute que je consultais en septembre 1982 me donna un traitement de vitamines avec un régime, après avoir examiné une goutte de mon sang.
La première semaine du traitement l’amélioration fut substantielle. Mais hélas elle se stabilisa ensuite pour retomber au niveau antérieur sans plus bouger.

Le second thérapeute que j’ai consulté en décembre 1982 faisait des tests musculaires et déterminait les médicaments dont j’avais besoin avec cela. Il pratiquait également l’électro-acupuncture qui était la partie la moins drôle des séances.
En plus de cela il donnait un cours sur ce qu’il faisait. Je me suis inscrit à ce cours avec la conscience que le meilleur moyen de se soigner est de se connaître soi‑même. Ce cours me donnait l’occasion de pouvoir apprendre plus sur le corps et son fonctionnement.

En effet si la prétendue meilleure méthode de psychothérapie ne pouvait pas m’aider il ne me restait que le corps physique où je pouvais trouver une solution.

De toutes ces expériences j’ai retenu que la vie c’est là où vous êtes heureux et pas ailleurs. La vie devrait être synonyme de bonheur.
Quand je lis maintenant les livres de médecines utilisant des méthodes naturelles, je me rends compte que mon problème aurait pu être résolu en quelques heures mais là n’était pas ma voie et je devais chercher pour trouver autre chose sans doute beaucoup plus important que la guérison d’une maladie de Crohn!
Je me mis donc à suivre ce cours donné en hollandais. Je dus faire de gros efforts pour mettre ma connaissance de la langue à un niveau acceptable.

Ce qui me fascinait littéralement c’était le fait que la matière pouvait influencer les réactions de nos muscles d’une manière parfois spectaculaire.

Ceci est en complète contradiction avec ce que j’avais reçu comme enseignement à la faculté et à l’école d’ingénieur même dans ma spécialité d’énergie atomique.

LA MATIÈRE EMET DES ONDES QUI INFLUENCENT MA SANTÉ

Comment tout cela était‑il possible?

Pourquoi l’enseignement ne fait-il pas état de telles choses?
Il est pourtant évident qu’en faisant de tels tests musculaires et en déterminant les produits dont les gens ont besoin il y a des résultats constants. Il s’agit donc d’une loi physique au sens où nous les étudions dans nos écoles et pourtant!!
Ces questions me trottèrent alors dans la tête d’une manière vraiment obsessionnelle.

Il ne se produisit pas longtemps pour que je découvre la solution.

En réfléchissant un peu:

Si les objets avec lesquels vous êtes en contact peuvent vous influencer négativement, un monde idéal sera donc le monde dans lequel les objets ne vous influenceront plus négativement.
En d’autres termes ce sera un monde sans poisons!!
Comme la caractéristique de poison était donnée par ces radiations portées par la matière, il devait être possible de les modifier pour qu’un poison devienne un aliment énergétique.

Je me mis donc à la recherche de circuits électroniques qui me permettraient de manipuler ces énergies mystérieuses portées par la matière.

Je découvris plusieurs circuits et avec mes connaissances d’électronique je me mis à la recherche de circuits de plus en plus simples.

Avec des vitamines d’un côté et des placebos de l’autre et les tests musculaires pour instruments de mesure j’allais de découvertes en découvertes.

Pendant ce cours, vers le mois d’avril,  j’avais réussi à séparer ces énergies de la matière et à les transporter vers d’autres supports. L’énergie d’une vitamine pouvait donc être transportée sur un placebo.

Je fis des expériences sur moi‑même et sur ma Marie-Christine avec de la vitamine B12. Le résultat était le même que pour la vitamine réelle.

La question essentielle restait de savoir si un poison pouvait devenir un aliment.

Le seul moyen était d’essayer.

La seule possibilité facile que j’eusse était d’essayer sur des animaux.

Un raisonnement simple vous fera comprendre que l’expérimentation sur moi se serait limitée à un essai ou deux.

Après très peu d’échec je réussis à donner à une souris plusieurs grains de blé empoisonnés traités dans une machine qui manipulait ces ondes que la matière rayonne.

La souris survécut!!

On pouvait voir qu’elle avait des difficultés à digérer ce qu’elle avait avalé et que cela la faisait souffrir mais elle a survécu.

J’avais la preuve que l’on peut séparer les ondes émises par la matière qui influencent la vie.

Mieux, sans toucher à la formule chimique d’un corps, on peut lui donner des caractéristiques telles qu’il est supportable pour le corps.

Naturellement avec des limites comme l’a montré la souris mais quand même bien au-delà de ce que la science m’aurait permis de penser jusqu’à ce jour.

De ces expériences est apparu nettement la séparation des énergies dont le corps a besoin et celles de la matière.

La conclusion fondamentale pour la santé est la nécessité de donner au corps les matériaux dont il a besoin mais surtout les énergies dont il a besoin.

Au mois de mai 1983 je découvris le principe de base de ces énergies sous les formes d’une explosion lumineuse que mon corps supporta avec difficulté.

Tout vibrait avec une fréquence basse et je sentais les battements de mon sang dans toutes les parties de mon corps, c’était très impressionnant.

Même si la sensation était extraordinaire par le bien-être que je ressentais, il était évident que ce n’était pas un état naturel auquel nous sommes habitués.

Cette découverte est basée sur des propriétés des ondes qui se déplacent plus vite que la lumière.

Le nom Ondévit a été trouvé avec Marie-Christine dans un brainstorming à la même époque.

En 1983 le 30 mai Ondevit est né avec une souris qui a survécu aux grains de blé empoisonnés! Vers le mois de septembre je découvris la méthode de test avec les cartes après avoir acheté des cartes fabriquées suivant les principes de Malcom Rae.

Quelques semaines plus tard, je découvris le moyen de faire mes propres cartes avec les mots directement et ainsi de donner à chacun la possibilité de faire ses propres cartes.

Peu de temps après je découvris le moyen de faire des tests sans des cartes imprimées.

Aussitôt suivit la possibilité de fabriquer des produits à partir de ces cartes et de ces mots. Une source infinie de possibilité était née pour fabriquer les produits énergétiques.

Dans le même temps de nouvelles machines voyaient le jour. Le plus souvent c’était sous forme de visions en couleurs avec les détails. Il ne me restait qu’à les construire et ça marchait et ça marche toujours.

Je n’avais aucune idée de la théorie, ni des possibilités qui se cachaient derrière ces découvertes.

Les années suivantes allaient être consacrées à la formulation des lois de l’énergie que je manipulais.

Au mois de janvier 1984 je fis un stage d’une semaine chez une thérapeute, qui avait une grande expérience, pour tester la méthode. Les résultats furent impressionnants et dépassaient toujours ce qu’elle avait pu obtenir jusqu’alors.

C’était vers les mois de mars, avril 1984, que forcé par la nécessité de trouver une solution pour la fabrication des produits, je découvris la possibilité pour chaque praticien de cette méthode de fabriquer lui‑même tous les produits dont il avait besoin à partir de l’énergie des lettres de l’alphabet. Avant cette découverte je devais faire les produits de chaque client individuellement dans la machine. A raison d’un quart d’heure par produit je ne pouvais pas aider beaucoup de gens mais surtout mon temps de sommeil diminuait dangereusement.

 La méthode Ondévit venait de naître grâce aux résultats obtenus par quelques pionniers. Qu’ils soient ici chaleureusement remerciés!

 

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